La lueur tremblotante des torches projetait des ombrages mouvantes sur les murs de la chambre très haute du temple. Le berger, encore secoué par son voyage onirique, se redressa légèrement, le métabolisme perclus de frissons malgré la température oppressante de la nuit. Il posa une index sur son collier d’or https://fernandoatiuv.activoblog.com/36108208/la-note-divin