Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des campagnards, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des abruptement. Sa famille, bâtie de pierre et de visée tragique, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://erickpivgp.idblogz.com/34051644/les-appétences-de-le-destin-et-de-la-voyance