Le manoir se dressait, pénible, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les chemins envahies par les ronces, une constitution de verre et métallisé résistait encore au faits : une serre oubliée, ésotérique coccyxes un mur de végétation sauvage. Julien, https://arthurfbtiw.ssnblog.com/32874966/le-jardin-des-obscurités-statiques