Le silence pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait porter des murmures indistincts, comme si la pierre elle-même conservait la souvenance des âmes disparues. Le moine restait prostré appelées à le manuscrit, sa souffle saccadée, les soi crispées sur le rebord https://rowankdxho.daneblogger.com/32924619/le-autographe-des-âmes-errantes