Le carnet du soldat, désormais noirci de notes fiévreuses, reposait mitoyen de la radio. Il avait passé la nuit à se rappeler une faille dans le message offert, à démonter mentalement n'importe quel changement de la contagion. Le pseudonyme évidemment était le sien, obstiné d’un code qu’il avait noté sur https://troynzhnr.bloguetechno.com/le-nombre-glacé-69021952