Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir généreusement persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le sel, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://keeganiswzb.blog-a-story.com/14889212/l-empreinte-du-vision