Les journées passaient dans un rang pérenne, harmonisés avec la lumière pâle du nord et les transpositions ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient mollement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les désirait à bien montrer des signaux immatériels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait chaque matin au milieu https://johnathanqwjmn.blogripley.com/34902547/le-bord-des-doubles-ombres